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Association "Temps de l'impact"
OUAGADOUGOU
email : tempsdelimpact@free.fr
recepisse n°2007 357/MATD/SG/DGLPAP/DOASOC
12 BP 357 ouagadougou 12
tel:(OO226)78 87 87 59/70 41 34 86/
 

L’association « Temps de l’Impact » (ATI) a été créée le 11 décembre 2006. Elle n’est affiliée à aucune formation politique, religieuse, idéologique ou syndicale ; c’est une organisation à but humanitaire qui œuvre pour l’épanouissement de l’homme dans sa totalité.

Son objectif est de contribuer et d’appuyer par des actions, avec l’aide de partenaires, les efforts multiformes entrepris par l’Etat dans les domaines de l’éducation, de la santé, de la culture et de l’environnement. Ces actions entrent en droite ligne dans le schéma global des priorités nationales. Elles embrassent divers domaines :
- promouvoir l’alphabétisation des enfants non scolarisés et déscolarisés ;
- promouvoir le bien être des enfants et des jeunes à travers la mise en œuvre d’activités socio-éducatives, culturelles et sportives ;
- lutter contre la désertification à travers des activités de reboisements et des sensibilisations sur les effets néfastes de la coupe abusive du bois et des feux de brousse ;
- assister médicalement les populations démunies ;
- sensibiliser les populations urbaines et rurales sur le SIDA/IST à travers des séances de projections cinématographiques et es causeries débats ;
- promouvoir la formation et la réinsertion des jeunes déscolarisés de la rue.

Les ressources de l’association proviennent des dons, legs et subventions de personnes morales ou physiques et établissements publics ou privés ; des recettes des manifestations qu’elle organise ; et des produits des initiatives des membres.


Préambule :

A l’orée du 21ème siècle, la communauté internationale se trouve partagée entre le grand espoir de lendemains meilleurs et la peur d’un cataclysme socio-politique et économique dont les conséquences seraient imprévisibles. En effet, autant le niveau de développement élevé des connaissances et moyens techniques et technologiques devait permettre la satisfaction objective des besoins fondamentaux de l’humanité, autant la disparité de leurs niveaux de développement selon les continents et pays, est porteuse de germes de crises. Cet environnement international complexe se caractérise par une crise économique, financière et socioculturelle profonde généralisée qui pousse à la création de grands ensembles concurrentiels au nord et à la tergiversation au sud.

Ce tableau, dépeignant la situation globale et peu reluisante de l’environnement international, ne met pas le Burkina Faso en marge parce que nous sommes d’avis avec l’autre que le monde n’est qu’un village planétaire.

En effet, à l’instar des autres pays africains, le Burkina Faso a évolué au cours de ces dernières années dans un environnement économique difficile caractérisé par la globalisation de l’économie.

En dépit des réformes politiques, économiques et institutionnelles entreprises depuis le début des années 90 surtout, l’économie nationale demeure faible (secteur traditionnelle de subsistance, secteur industriel embryonnaire et secteur moderne d’échange tourné vers l’extérieur).

Or la population burkinabé, avec ses 12 millions d’habitants environ, se singularise par sa jeunesse ; 70% de la population a moins de 35 ans.
Les nombreux et multiformes problèmes que vivent les populations et particulièrement la jeunesse sont la résultante des constats (ci-dessus) qui mettent en exergue les spécificités liées à l’environnement actuel et les réformes entreprises pour y pallier.

De types transversaux et communs à toutes les catégories, nous pouvons relever entre autres :

-  une pluviométrie capricieuse liée à notre situation géographique et aux conditions naturelles pas trop favorables ;
-  la dégradation des valeurs humaines de référence devant la confrontation des cultures ;
-  un chômage et un sous-emploi qui se posent avec acuité ;
-  l’analphabétisme et son corollaire qui est le manque de qualification professionnelle ;
-  la pandémie du VIH/SIDA qui n’épargne personne ;
-  le problème d’auto emploi pour l’exercice d’activités génératrices de revenus…

Ce chapelet de maux, non exhaustif, justifie l’étude, de la Banque Mondiale, qui estime que 45,3% de la population burkinabé vit en dessous du seuil de pauvreté.

Ces considérations relevées nous confortent dans notre volonté, en tant que citoyen burkinabé, de vouloir apporter notre contribution dans les tentatives de résolution des multiples maux qui minent les populations et que l’Etat en fait son cheval de bataille.

Comme on dit traditionnellement « un seul doigt ne peut ramasser la farine ». L’Etat à lui seul ne peut venir au bout des maux. Notre atout ne peut être que la réunion de nos efforts par une large participation de toutes les couches, de tous les acteurs. Cette sommation favorisera la prise en compte des préoccupations d’où découlera des actions significatives pour le bien être de la majorité.

C’est cet esprit qui nous a animé et nous anime dans la création de notre association dénommée « Temps de l’Impact ».

Notre objectif, contribuer à la considération des efforts entrepris et influer par nos actions ; et l’impact, dans le temps, ne sera que plus visible.

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